Du Louvre au Palais de la Cité

Teia_de_jerez a écrit:

Elle avait retrouvé le Chevalier Silec dans l'hôtel et ils étaient en binôme donc, ils ne devaient pas se séparer. Ils avaient reçu des Ordres pour l'emplacement qu'il devait prendre pendant le cortège et ensuite à la basilique.

Ils étaient comme d'habitude à cheval car plus facile pour voir les mouvements de foule et surtout plus rapide au cas ou il y ait du grabuge.......pas question de laisser la Reyne ou sa famille en danger Elle avait son épée au côté et ses couteaux aux endroits habituels.

Elle se pencha pour parler au Chevalier

Il y a beaucoup de monde, je crois que plus les couronnements avancent, plus la foule vient voir le défilé.

A croire qu'ils voulaient voir la différence entre eux et l'autre monde. Elle n'aimait pas du tout ça....voir la misère qui régnait à Paris la mettait chaque fois en rogne. C'était dans ces moments là qu'elle se disait qu'il fallait bien surveiller car parmi la foule se trouvaient les pickpockets, les voleurs de toue nature et malheureusement, il pouvait y avoir aussi des écorcheurs. Ceux-là, c'étaient les plus dangereux.....Il fallait avoir tous les sens aux aguets.

J'aperçois Kali et Legowen près de la Reyne !

Elle aperçu Gouttelette près d'Ysil. Elle était montée sur Hastia, sa superbe jument. Un sourire aux deux et elle reporta son regard sur la foule. C'était le moment de se concentrer.

Shantaram a écrit:l'invitation au couronnement de sa Majesté la Reine m'avait été remise par le Surintendant Tatou de la Calonne.

J'avoue que j'ai hésité... Les cérémonies, les mondanités, la foule, ce n'était pas ma tasse de thé, loin s'en faut. De plus, je n'étais pas du "sérail" comme on dit, je n'étais qu'une simple intendante au service de la Couronne depuis de longues années, mais toujours avec plaisir auprès de ceux qui étaient devenus ma seconde famille.

J'étais plus habituée aux courses à cheval en campagne, aux embruns lorsque j'étais à la barre de l'un de mes navires. Les ronds de jambes, les toilettes, les discours, non ça n'était vraiment pas mon truc... Mais je me devais d'estre présente : la Reine se faisait couronner et en ma qualité d'officier de la Couronne, il était de mon devoir de l'honorer par ma présence.

Je me rendis donc au plus vite sur les lieux de la prestigieuse cérémonie, j'avais pour l'occasion revêtu une de mes plus belles mais simples tenues. La foule était déjà présente, nobles dames et nobles messieurs, mais aussi manants et tire bourses. Habituée des grands chemins, je savais les repérer. Je les évitais tout en me frayant un passage jusqu'à l'entrée indiquée sur mon parchemin d'invitation.

Arrivée devant le garde de faction je lui tendis mon invitation et entrai dans la grande salle de réception. Je m'installai non loin de l'entrée, ainsi j'avais une vue d'ensemble sur qui était déjà arrivé et qui entrait. Je pourrai repérer la venue de mes collègues que je rejoindrai très probablement.

Un rapide regard sur les personnes présentes, j'aperçus sa Grasce Ursus, connu autrefois en Orléanais. A l'époque où j'y étais gouverneur, il y était déjà Duc. Beaucoup d'eau avait coulé sous les ponts depuis cette lointaine époque. Il n'avait pas changé... Je lui fis un signe de tête discret pour le saluer de loin. Je vis aussi Kalimalice, habillée d'un magnifique uniforme, une autre orléanaise. Je n'irai pas les déranger. préférant rester sagement près de la porte, attendant le début de la cérémonie.

Kenawee_boucanier a écrit:Kenawee n'avait pas pu partir avec son père car maintenant, il habitait à Paris et elle était restée en Rouergue. Il lui manquait beaucoup mais il devait défendre la Reyne et bien justement, c'était pour ça qu'elle était triste. Elle aussi, elle voulait être près de sa marraine.
Elle comprenait très bien que celle-ci n'avait plus de temps à lui accorder, les affaires du peuple passe avant les autres sûrement mais, elle voulait au couronnement quand même.
Elle avait envoyé un courrier à la Reyne et celle-ci lui avait répondu par la bouche de son papa, qu'elle pouvait le rejoindre.

Aussitôt dit, aussitôt fait, elle plongea dans un bain et vite alla choisir sa tenue. Elle en avait pas beaucoup car elle était de nouveau roturière aussi, elle fit à pile ou face et choisit la verte ! Non au cas ou il faille défendre la Reyne, elle prit sa tenue mauve ainsi elle aurait une épée au cas ou.

Elle prit son cheval et direction Paris ou là, ça devenait vraiment compliqué. La foule était immense. Perché sur son cheval, elle essayait de trouver le lieu de rendez-vous. Voilà c'était là. Elle laissa son cheval à un palefrenier.....enfin, elle l'espérait et rejoint son père, lui fît une bise sur la joue

Je suis là ! Merci papa !

Elle était arrivée jusqu'à celle qu'elle admirait depuis le premier jour........la soeur de cœur de son papa. Autour d'eux, il y avait beaucoup de monde mais c'était bizarre, elle n'avait pas encore vu Domino, l'amie et garde ! Elle n'allait sûrement pas tarder.

Quand le cortège démarrerait, elle se glisserait avec les autres soldats pour surveiller que tout se passe bien et arrivée à la Cité.....elle verrait à ce moment là.

Frizthecat a écrit:

Frizt été arriver avec un peu de retard ,il s'était perdu ,mais il été la c'était l'essentiel.

il fit un petit signe a ses frères et sœurs ;il se dirigea sur le coté droit et attendit Elena et Aldéric.

Raymond3ecus a écrit:Le capitaine normand venait régulièrement à Paris. Voir l'état major, suivre les cours de stratégie, tout ça. Il commençait à connaitre les petites boutiques, les ruelles dont il fallait se méfier. Mais il n'avait jamais vu la capitale remplie d'autant de monde! Il n'avait qu'à suivre la foule pour trouver le cortège...

Son cheval, son armure, cela aide à se frayer un passage. Chacun veut voir la reine, c'est normal, mais on ne contrarie pas un officier royal, quand même! Anxieux, il surveille ceux qui arrivent. Il ne pourra sûrement les suivre que d'assez loin, la liste est longue de ceux à qui il doit la préséance. Mais à vrai dire, le normand a déjà vu la reine. C'est quelqu'un d'autre que, sur la pointe des pieds, il cherche du regard dans le cortège. Au plus près de la souveraine. Une certaine novice...

Alix_du_vivier a écrit:C'est sans encombre qu'elle avait rejoint le Louvre pour se préparer à intégrer le cortège.
Déjà de nombreux amis étaient présents.
Les OR en tenues impeccables, quelques grands Officiers. Que de souvenirs qui ressurgissaient d'un temps lointain.
Alix avait tellement foulé les pavés de ces endroits de Paris, elle en avait usé ses bottes.

Paris! Soit on aime soit on aime pas il n'y a guère de juste milieu. Une ambiance particulière y régnait d'ordinaire, mais ce jour c'est tout Paris qui était en effervescence.
Les gens dans les rues riaient, certains gamins courraient dans tout les sens. C'était beaucoup plus animé qu'un jour ordinaire, et ce malgré le temp maudasse, même le soleil tentait quelques timides apparitions.

Des souverains, la brune en avait vu passer et pas qu'un, mais là c'était particulier ce couronnement.
Egale à elle même Karyaan faisait toujours les choses dans sa ligne de conduite.
Cette journée serait toute particulière.

Elle salua tout les présents d'un signe de tête, un sourire à son amie Poli et son époux, plus tard peut être qu'elles pourraient discuter un peu, c'était toujours une grande joie de la revoir.

Tatou_de_la_calonne a écrit:

Le jour du sacre était venu.
Ne sachant pas comment il devait s'habiller ce jour, il opta pour sa tenue de SdF de cette manière, il n'y aurait pas d'impair.

Tatou quitta son bureau du Louvre afin de rejoindre le Cortège Royal.

Une fois arrivée au lieu de rendez-vous, il salua les personnes présentes d'un signe de tête

Cornelius.de.leffe a écrit:

Cornelius n'a pas l'habitude d'encadrer le Cortège plutôt que la Reine, c'est un fait. Aussi la question le prend-elle un peu au dépourvu. Il ne sait pas qui est déjà là, déjà. Et puis partir sans la Reine c'est....

- Attendons la Reine. Partir en avance impliquerait un trou dans le cortège si Sa Majesté était retardée ne serait-ce que d'une minute. Quant à qui est là ou non, je suppose que tous sont tenus d'arriver en avance et seront forcément là quand elle apparaîtra.

Lui, en tout cas, ne bougera pas sans avoir vu la Reine. Appelez ça de la déformation professionnelle si vous voulez, mais s'il n'a aucun souci à céder sa place tout à coté d'elle, avancer sans la savoir arrivée et prête à partir est au dessus de ses forces.

Raimbaut_dmda a écrit:

♫ A la Pairs-Fontaine, m'en allant promener...♫

Ce n'était pas le premier couronnement auquel Raimbaut assistait, même si assurément, ce serait la première fois qu'il tiendrait un tel rôle. Icie ayant toujours tout prévu, le tourangeau rejoignit le lieu de rassemblement, qui était donc bien une fontaine, ou il retrouva les visages connus des autres Pairs de France.

Bonjour à vous.

Il salua donc chacun et acquiesça à la proposition de la Primus. Les choses n'allaient pas tarder à bouger, ce qui n'était pas désagréable, quand on avait expérimenté la lenteur d'autres cérémonies officielles du genre.

Grey_black a écrit:

Faisant partie des officiers de la Grande Prévôté de France, la jeune enquêtrice fraichement recrutée a reçu une invitation pour cet événement, Ô combien important et qui s'annonce grandiose.

Il fallait du coup rejoindre les membres de cette équipe qui devaient déjà y être , habillé d'une tenue adéquate et de circonstance, elle s'est retrouvé dans la bonne place, en voyant de loin madame Perlou qu'elle rejoignit et s'est placé discrètement en saluant les personnes présentes et celles qu'elle croisait dans son chemin.

Les décors hallucinants, les couleurs et la variété des habits, les gardes et la quantité des armes, laissaient bouche bée, c'est vrai que c'est sa première fois et elle en profitait en s’émerveillant de la scène, à ne pas en rater une miette avec ses regards dans tout les sens attendant le commencement de la cérémonie.

Vittoria a écrit:Tôt le matin, elle avait quitté l'hôtel de Saint-Pol qu'elle occupait depuis qu'elle était Grand Maitre de France. Richement vêtue et parée pour l'occasion, elle avait rejoint le Louvre et plus particulièrement sa cour pour le départ du cortège. Là attendait déjà des coches et des chevaux pour tout ceux qui suivraient le véhicule de la reyne.

Elle rejoignit les personnes déjà présentes : gardes royaux, grands officiers et pairs de France qu'elle salua ici et là. A son approche du groupe, elle entendit la proposition de la Primus et la réponse du capitaine de la garde royale.

Le bonjour à tous, Vos Seigneuries, Grands Officiers.

Elle frotta lentement ses mains gantées l'une contre l'autre, pour se réchauffer du froid qui de temps en temps la saisissait. Son regard s'arrêta un peu plus longuement sur Marc-Antoine, vêtu de ce manteau d'azur et d'hermine et lui adressa un sourire. L'heure n'était pas aux discussions et l'instant du banquet serait sans doute plus approprié pour cela.

Effectivement, il vaut mieux patienter et attendre l'arrivée de Sa Majesté pour partir tous ensemble.

Et après tout, un cortège, c'est mieux avec sa reyne !

Silec a écrit:

L’hotel, puis les discussions avant d’aller se coucher, la prise des ordres.
Il sera avec sa sœur Teia a cheval pour une fois.
La dernière a pied, c’était quand il était pair de France.
Ils se retrouvent donc a l’écurie, elle sellant son cheval et Silec faisant de même. Les gestes étaient contrôlés sans un mot si ce n’est un hochement de tête vers Teia en signe de bonjour. Non pas que Silec était mal luné mais c’était son habitude lors des grands moments d’etre concentré sur la tache.
Ajustant son équipement dague et épée il monte sur son cheval et ils se dirigent vers le lieu de rendez vous.

Teia prend la parole, il lui adresse un sourire puis lui répond.

Oui et ce n’est pas fini ce monde raison de plus d’etre tres vigilant.
Excuse moi tout a l’heure, je n’ai pas engagé la conversation non pas que je faisais la tête mais c’est mon style on va dire lors des grands évènements cela m’aide à me concentrer à la tache à venir.

Liloia_de_baish a écrit:Tôt dans ce petit matin frisquet
J'avais quitté les appartements
où j'étais logée
Pour rejoindre la cour du Louvre
où aurait lieu le départ du cortège
Pour l'occasion je portais la tenue de Grand Ecuyer
Très belle tenue officielle
Mais peu pratique pour monter à cheval
Pour l'heure , j'attendais l'arrivée de la Reyne
Rejoignant les personnes présentes
Et plus particulièrement les chevaliers
Et les Gardes Royaux
Qui se mettaient en place.
Je saluai
Comme à l'habitude
d'un hochement de tête
et d'un sourire.

Raymond3ecus a écrit:

La foule est dense, le capitaine se demande s'il aura le temps ET de voir le cortège, ET d'être à temps au palais pour la cérémonie... c'est pour ça qu'il a amené son cheval, et repéré un itinéraire par le pont Notre Dame. Normalement, ça passe. Faut pas un tombereau en train décharger ou quoi que ce soit.

Par contre, ça ne semble pas être du goût de tous.

-Et oh, l'aristo! Tu peux pas mettre ton canasson ailleurs?
-Ouais, on veut tous voir la reine!

-Dis donc la pouilleuse, tu me parles autrement, oui? C'est un jour de fête, il ne sera pas dit qu'un officier royal aura passé par l'épée une maraude, mais méfie-toi de mes poings! Ah ah!

Il avait beau jouer le méchant, il n'était pas vraiment crédible. La faute à une lueur de malice dans les yeux, peut-être.

-N'empêche, gente dame, j'ai besoin de ce cheval, il ne bougera d'ici que lorsque la garde de la reine sera passée, j'en suis navré.

Alix_du_vivier a écrit:La Reine était là ! Que de chemins parcourues pour cette femme d'engagements.
Au plus loin qu'elle se souvienne, Alix se rappelait d'elle.
Bons ou mauvais souvenirs, peu importe, l'important était le jour présent, le futur d'un règne juste.
Quand elle s'inclina devant eux, elle aurait aimé lui dire non Majesté, ce n'est pas à vous de vous incliner.
Mais c'était son idée et comme à la coutumé, elle irait jusqu'au bout de cette dernière.
Alix aurait aimé monter un destrier avec les autres GO, mais peut être qu'il était prévu autre chose.
Aussi sagement que la sombre elle attendit qu'on lui explique le déroulé à partir de maintenant.

Berenice_marie a écrit:

Dans les appartements royaux, Saint-Preux ajustait une dernière fois la tenue de la résille perlée qui soutenait l’épais chignon ébène de Karyaan Lómàlas tout en la considérant dans le reflet. La Reine de France était fin prête à paraître devant tous & d’embrasser la consécration même de sa destinée. En silence et bien humblement, Bérénice-Marie recula de quelques pas, rejoignant ainsi le côté des dames d’honneurs qui elles aussi, firent œuvre autour de la souveraine. Les mains jointes - doigts entrelacés - sur son ventre, la demoiselle éprouva autant de fierté qu’il lui était permis d’en avoir ; et ce n’était pas les mots de la reine, ni même son attitude ô combien emplie d’humilité – quoi que déroutante – qui faisait brûler la fierté, mais l’opportunité qu’elle lui eût offert d’être parmi elles.

Et dans la cour du château du Louvre, se tenait toute une auguste assemblée ; celle-là même qui escorterait la monarque jusqu’au Palais de la Cité. Saint-Preux, en retrait, se frottait nerveusement le côté d’un index et chercha alors en l’un des regards des dames d’honneurs, un repère, quelque chose ou quelqu’un à qui s’accrocher.

Shaomye a écrit:Au départ du Louvre, la Lutine a repris sa place naturelle, au coté de la Dame de son coeur, non sans avoir salué d'un hochement de tete ou d'un sourire toute personne qui aura croisé le regard couleur acier.

Peut être est ce la dernière fois qu’elles chevaucheront de concert ; ou peut etre que le destin permettra à la brune de rejoindre à temps par la suite le cortège royal. Les Dieux seuls savent.

Il faut espérer, tout de meme, parce qu’elle a bien l’intention de lui présenter sa petite protégée !

Le départ du Louvre se prépare, dans un silence global partagé, réconfortant. La présence d'Urgain, massive, toute proche, donnera une aura particulière au trajet. Tous, ils communient en cet instant, Chevaliers, Gardes Royaux, Souveraine, Dames ...

Juste avant de hisser la Reyne sur sa selle, le temps d’une seconde, si discrètement que personne sûrement ne remarquera le geste, elle serre brièvement la main de son amie. Juste un contact pour dire tellement. Je suis fière de toi, de tout ce que tu as accompli. Tu es exceptionnelle et rien ne changera ça. Je serai toujours là, pour toi.

La Reyne est en marche !

En un instant, le Chevalier a rejoint Arrion, le bel étalon du Haras de l'Ordre, qui ne sort normalement plus des murs du Haras ; mais pour le couronnement de la Reyne, on a bien droit de faire une exception, non ?

Le beau gris, harnaché avec les cuirs de parade des grands jours, porte en toute discrétion deux petites cocardes sur sa bride. Une à gauche aux couleurs de Beaumont, une à droite aux couleurs de Dangeul.

Rejoignant sa monture, la Brune se hisse en selle, la guide tout pret de la monture royale, et se penche un peu pour gratouiller entre les oreilles de l'étalon

Tache de ne pas te faire remarquer, mmhhhh ? ce n'est pas le moment de parader pour les jolies pouliches !

Icie a écrit:La Reine était là, et chose fort rare, elle s'inclina devant eux.
Icie en était toute retournée. Une seule fois, un Roi lui avait fait un signe de tête pour acquiescer à son discours mais s'incliner? Jamais.

Secouant la tête pour cacher son émotion, elle fit le premier pas, celui qui les mènerait au Palais de la Cité. Elle en avait même oublié le rat, c'est dire.

Solennellement, le cortège s'ébranla, Pairs de France en tête.


[suite au Palais de la Cité pour les Pairs]

Poli_de_motteville a écrit:Poli fut émue par la Reyne qui s'était incliné devant les Pairs, elle se retint de lui faire une révérence, elle fit un signe de tête avec un grand respect.
Elle suivit la Primus avec les autres Pairs de France..

Teia_de_jerez a écrit:

La Reyne venait de faire son apparition.....elle était si.......Royale. La Sombre comme on aimait à l'appeler était rayonnante. Teia était vraiment en admiration devant cette femme......elle avait une vie extraordinaire. La seule chose qui lui faisait peur en cet instant, c'était la malédiction qui tombait sur tous les monarques du Royaume. Si elle c'était écouté, elle l'aurait éloigné de tout ça.......non pas qu'elle ne croyait pas en elle.....mais elle avait peur de l'avenir.

Elle la regardait s'approcher de son cheval et sourit discrètement quand on la hissa sur l'animal vu la robe et les tas de jupons qu'elle avait en dessous? c'était pas une chose facile.

Près du Chevalier Silec, elle patientait depuis longtemps mais en cet instant, l'attente était oublié. Elle se redressa sur son cheval et patienta que le cortège se mette en route.

Mary_duncan a écrit:[Garde Royale - à dada]

Parmi la garde rapprochée il y avait Mary. La jeune rousse n'avait pas rejoint ses compagnons et son Capitaine jusque là. Elle avait attendu le lever de la Reine et l'avait vue paraître, puis escortée jusqu'à sa monture.
Comme pour chaque occasion elle portait son sempiternel uniforme de la Garde Royale. Certains supposent parfois qu'elle le garde au coucher afin d'être prête en cas d'attaque nocturne.

C'est donc dans le sillage direct de la monture de la Monarque que la protectrice rejoignit le reste du Cortège sur le dos de Sabine, sa frisonne qui l'accompagnait dans chacune de ses aventures.

D'un signe de tête elle saluait ses connaissances, parfois d'un sourire; Du langage muet de la Garde elle assura à ses supérieurs que tout s'était passé pour le mieux.
Mais en voyant Astrid tenter de garder la face sur un équidé qui ne lui semblait pas familier, elle se revit lorsqu'expérimentée elle dut apprendre à rester les fesses posées sur la selle de sa sombre amie. Elle n'avait jusque là cochonné(1) que les jeunes porcs de l'élevage de sa mère, lorsqu'elle menait des courses effrénées dans les grandes artères limougeaudes, et les canassons avaient toute de même de bien plus grandes pattes.

Elle détourna alors le pas de Sabine pour rejoindre sa novice, lui prendre les rênes et les accrocher à l'arrière de sa selle. A la brune Albion elle glissa quelques mots bas "Serre les genoux et garde les doigts dans la crinière, je n'irai pas trop vite. Garde le bassin souple".
Puis elle reprit place dans le Cortège qui nourri des dizaines de chevaliers d'ordres différents prenait une sacrée prestance.




[hrp](1) chevaucher, c'est pour les chevaux non ?[/hrp]

Amory a écrit:Il était Officier de la Grande Prévôté de France depuis peu de temps et ne s'attendait pas à être invité pour cet évènement.
Il essaya de trouver une tenue adéquate...n'étant pas du tout habitué à ce genre d'évènements.

Beaucoup de monde était déjà là. Il était impressionné par tous ces visages qu'il ne connaissait pas, par le fait d'être au milieu de personnes aussi importantes.
Tout en s'émerveillant du lieu, il cherchait des visages connus....si tant est qu'il y en avait.

Il saluait chaque personne qu'il croisait, en essayant de ne pas faire trop d'impair.
Il repéra Grey et Perlou et s'approcha d'elles.
Il les salue et se met à attendre patiemment le début de la cérémonie, tout en continuant à admirerle lieu.

Riccard0 a écrit:Couronnement en ville de Paris, tenue appropriée et de circonstances fort peu adaptée à sa morphologie, aussi il s'habilla richement avec ses propres vestures et prit son bâton de Grand Officier. Le protocole était assez simple pour lui, suivre le cortège, entrer dans le bâtiment s'asseoir et regarder. Sans doute était-ce là fort peu agréable pour beaucoup, car très clairement il faisait parti des ces GO qui ne serait pas en lumière ce jour là. De son avis, il trouvait la chose dommageable, le lien entre les Grands Officiers et la Couronne devait se faire à chaque souverain, sauf que cela n'était pas le cas.

Dans le cortège, l'ébène attendit la venue de la Reine de France, fit une inclinaison du buste poing droit sur son coeur et se redressa. Une vieille coutume que peu connaissaient, par chance la Reine comprendrait la symbolique, une des rares sans doute avec son époux le Roi Consort.

Se plaçant à sa place, il attendit le départ et suivrait le cortège jusqu'au bout.